Les vendredis de l'absolu

La semaine a été intense et ce vendredi, bien evidemment, ne ressemble à aucun autre. C'est un vendredi de l'absolu où j'ai besoin de m'arrêter pour révéler mes idéaux volatiles et pour parler d'être à être, avec comme toile de fond, la mélancolie.

Cette semaine un ami s'en est allé parce qu'il se sentait infini et limité à la fois. Comment aurai-je su comprendre cela?

Les vendredis de l'absolu devront désormais être un rituel car tout n'est qu'impermanence et si je voyage pour aller à l'autre bout de moi-même, je ne devrais pas pour autant perdre de vue le chemin de retour.

Désormais ce n'est plus uniquement au-dedans de soi qu'il faut apprendre à voyager mais bel et bien au-delà de soi, passer d'une intrépide incursion à une lumineuse exploration.